
Même si 230 millions d’€uros son fléchés sur la transition écologique, énergétique et les solidarités, je note que ce CPER manque d’ambition le chapitre économique et la formation.
Pour de nombreux territoires, la réhabilitation des friches pour les activités économiques devient crucial pour un développement économique durable.
Le budget de 2 M€ est bien en dessous des enjeux liés à la zéro artificialisation nette des sols.
Les bouleversements économiques liés aux multiples transitions énergétiques, écologiques (ère des raretés), numérique nécessite un plan global de transitions des métiers.
Le CPER acte seulement les financements qui poursuivent les dispositifs actuels ; l’EMFOR pour les diagnostiques par filières, l’ARACT pour l’amélioration des conditions de travail.
Pour l’ESS le CPER acte le soutien à trois têtes de réseau/dispositif : la CRESS, le DLA et le générateur à projet BFC.
Nous comptons donc sur d’autres progressions pour atteindre nos objectifs, le SRDEII notamment.
Stéphanie MODDE
Vice-présidente en charge de la transition écologique : énergie, biodiversité, alimentation, économie circulaire, eau